- Catherine Leblanc
- Illustrations Olivier Thiébaut
- Sarbacane - 13,90 €
Un poème ? D’où ça vient ? Où ça se trouve ? Et comment partons-nous à sa recherche ? Drôle d’affaire que la poésie… Surtout lorsqu’il s’agit de s’aventurer dans le labyrinthe des rues parisiennes pour trouver l’inspiration.
Laissez-vous entraîner dans le tourbillon créatif et poétique des auteurs et plongez dans l’effervescence des artères de la ville. Le poème n’a pas de forme définie, pas d’apparence fixe, de style arrêté ni de couleur unique. Il peut surprendre, décoiffé, émouvoir, faire sourire, ouvrir une réflexion, appeler un songe…
Il n’est plus insaisissable qu’un poème, surtout lorsqu’il se balade dans Paris, se faufile entre les badauds, s’engouffre dans les souterrains, s’enroule autour des lampadaires et s’envole vers les cheminées.
Chercher un poème dans la ville ? L’entreprise en elle-même est poésie. Sur les affiches, dans les vitrines, devant la boulangerie, au coin de la rue, au milieu du couloir de bus… Le poème peut surgir à tout moment ; il suffit pour cela de faire preuve d’imagination, de laisser sa représentation habituelle de la ville au placard, de transgresser les schémas urbains, de s’attacher aux détails et de se laisser émouvoir. La poésie est partout et n’est que question de perception.
Catherine Leblanc et Olivier Thiébaut forment un beau binôme. À eux deux, l’une avec sa plume, l’autre avec son pinceau, nous transportent dans un joli univers poétique. Avec eux, il suffit de lever la tête pour ressentir la poésie qui nous entoure et de soulever le léger voile qui la recouvre au milieu du brouhaha de la ville, derrière la pollution et le béton. Le joyeux bric-à-brac de Olivier Thiébaut fait d’objets insolites et désuets est un appel à la poésie. Ses illustrations aux airs de brocante invitent à la rêverie et dévoilent les mille visages de la capitale française d’hier et d’aujourd’hui.
Anne GodinLaissez-vous entraîner dans le tourbillon créatif et poétique des auteurs et plongez dans l’effervescence des artères de la ville. Le poème n’a pas de forme définie, pas d’apparence fixe, de style arrêté ni de couleur unique. Il peut surprendre, décoiffé, émouvoir, faire sourire, ouvrir une réflexion, appeler un songe…
Il n’est plus insaisissable qu’un poème, surtout lorsqu’il se balade dans Paris, se faufile entre les badauds, s’engouffre dans les souterrains, s’enroule autour des lampadaires et s’envole vers les cheminées.
Chercher un poème dans la ville ? L’entreprise en elle-même est poésie. Sur les affiches, dans les vitrines, devant la boulangerie, au coin de la rue, au milieu du couloir de bus… Le poème peut surgir à tout moment ; il suffit pour cela de faire preuve d’imagination, de laisser sa représentation habituelle de la ville au placard, de transgresser les schémas urbains, de s’attacher aux détails et de se laisser émouvoir. La poésie est partout et n’est que question de perception.
Catherine Leblanc et Olivier Thiébaut forment un beau binôme. À eux deux, l’une avec sa plume, l’autre avec son pinceau, nous transportent dans un joli univers poétique. Avec eux, il suffit de lever la tête pour ressentir la poésie qui nous entoure et de soulever le léger voile qui la recouvre au milieu du brouhaha de la ville, derrière la pollution et le béton. Le joyeux bric-à-brac de Olivier Thiébaut fait d’objets insolites et désuets est un appel à la poésie. Ses illustrations aux airs de brocante invitent à la rêverie et dévoilent les mille visages de la capitale française d’hier et d’aujourd’hui.
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