Le monde n'est jamais finivient d'être sélectionné pour le prix Lire et faire lire 2007, en lien avec le printemps des poètes. c'est formidable, les poèmes vont être lus dans les écoles !
2 commentaires:
Anonyme
a dit…
Bonjour, ce livre je l'ai découvert dans ma petite bibliothèque rurale grâce à la bibliothèque du département et son fameux bibliobus. Je suis amoureuse de -presque- tous ces textes, (ceux de la seconde partie sur les arbres me sont moins proches), les autres,du début,me sont VITAUX. J'y pense souvent, au ballon, qui rebondit dans le poème, à la petite folie, que l'on rattrape; tout est douceur, pas plus encombrant qu'un petit filet d'eau, mais c'est la même compagnie, sincère, discrète et "allante". Ca, c'est un mot qui signifie que l'on peut respirer, avancer, être en lien avec le passé et l'avenir parce que, le monde, il n'est jamais fini... Bordel, ça, c'est chouette, que, à n'importe quel âge, on se dégage du temps, et de l'espace.
J'ai utilisé l'un de ces textes pour un modeste livre à un seul exemplaire dans le cadre d'un travail entre des écoles primaires et un Musée sur le thème de "la douleur et la folie". C'est le dernier poème cité: "Mon coeur est froissé..une voix vivante..et il se déploie.. commence sa course, au- dessus des toits." Le livre a été laissé en consultation dans la "galerie des enfants". Et pour finir, il faudrait que tous les pédagogues ou les amoureux en général aillent visiter l'atelier-imprimerie du Cheyne, dont vous évoquez les Poèmes pour grandir au- début du blog, histoire de voir, matérielement parlant ce que c'est que la poésie, écouter la voix -vivante- d'un éditeur, et constater l' exploit de son travail et de son atelier, un truc vrai et littéralement incroyable à la fois.
merci Agathe de ce message qui me va droit au coeur ! la poésie ne trouve pas souvent de lecteur et c'est une joie quand elle permet une rencontre, le plus mystérieux c'est qu'elle est alors intime, étonnante. Merci aussi au bibliobus chargé de livres qui parcourt l'Isère !
2 commentaires:
Bonjour,
ce livre je l'ai découvert dans ma petite bibliothèque rurale grâce à la bibliothèque du département et son fameux bibliobus. Je suis amoureuse de -presque- tous ces textes, (ceux de la seconde partie sur les arbres me sont moins proches), les autres,du début,me sont VITAUX. J'y pense souvent, au ballon, qui rebondit dans le poème, à la petite folie, que l'on rattrape; tout est douceur, pas plus encombrant qu'un petit filet d'eau, mais c'est la même compagnie, sincère, discrète et "allante". Ca, c'est un mot qui signifie que l'on peut respirer, avancer, être en lien avec le passé et l'avenir parce que, le monde, il n'est jamais fini... Bordel, ça, c'est chouette, que, à n'importe quel âge, on se dégage du temps, et de l'espace.
J'ai utilisé l'un de ces textes pour un modeste livre à un seul exemplaire dans le cadre d'un travail entre des écoles primaires et un Musée sur le thème de "la douleur et la folie". C'est le dernier poème cité: "Mon coeur est froissé..une voix vivante..et il se déploie.. commence sa course, au- dessus des toits." Le livre a été laissé en consultation dans la "galerie des enfants".
Et pour finir, il faudrait que tous les pédagogues ou les amoureux en général aillent visiter l'atelier-imprimerie du Cheyne, dont vous évoquez les Poèmes pour grandir au- début du blog, histoire de voir, matérielement parlant ce que c'est que la poésie, écouter la voix -vivante- d'un éditeur, et constater l' exploit de son travail et de son atelier, un truc vrai et littéralement incroyable à la fois.
Merci beaucoup M'dame.
merci Agathe de ce message qui me va droit au coeur ! la poésie ne trouve pas souvent de lecteur et c'est une joie quand elle permet une rencontre, le plus mystérieux c'est qu'elle est alors intime, étonnante. Merci aussi au bibliobus chargé de livres qui parcourt l'Isère !
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