Il flotte sur les ténèbres
Rien
Ne sonde sous les sargasses la profondeur
Rien
N’indique le nord, l’odeur des terres
Rien
N’arrête la muraille d’eau qui avance
Rien
N’épuise la vague fracassant le pont
Il perd le souvenir des calanques
Noir
L’océan
dans ses flancs
2 commentaires:
C'st un très beau poème - il y a du bruit dedans/ Il date de quand ?
ouh ! au moins 15 ans !
il fait un petit tour ici pour sortir de l'oubli.
et toi, Anne ça va ? toujours en pleine écriture ?
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