8
Il a ouvert ses ailes,
encore une fois, elles étaient presque transparentes dans la lumière. En plein
ciel, j’ai crié de joie.
- C’est magnifique
!
9
Le vent nous a
ramenés. L’oiseau était tout essoufflé. Je l’ai placée dans la
poche, sur ma poitrine, et j’ai marché vite. Je ne voulais pas voir les
milliers de feuilles par terre.
5 commentaires:
Toujours aussi beau. Le texte monte en émotions, et l'illus du paragraphe 8 fait rêver...
Merci Baptistine !
Il reste encore deux pages à terminer.
ces pages sont mes préférées...
mais en fait je crois que j'aime vraiment mais vraiment l'ensemble...
un peu de compo de page texte
et zou...
moi, je vous l'édite.
(euhhhh, faudrait être une maison d'édition pour ça, non ?)
encore une aventure ?
allez, j'en reparle à Pierre.
Je serais partante pour cette aventure !
MOI AUSSI !
Enregistrer un commentaire